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Nouveau programme : aventure animalière en Tanzanie

S’il fallait mettre sur un podium les destinations les plus riches en termes de faune sauvage, la Tanzanie y occuperait la toute première marche. Grand comme presque deux fois la France, ce pays d’Afrique de l’Est est en effet celui qui abrite la plus grande quantité d’animaux sauvages : on y trouve plus de quatre millions d’entre eux, 430 espèces différentes de mammifères, et parmi elles, 20 % environ des mammifères de grande taille du continent africain. Une richesse faunistique qui n’attire pas que des observateurs pacifiques du monde entier et que nous vous proposons de découvrir au cours d'un nouveau voyage.
Gnous de Sélous © Renaud Fulconis
Tanzanie, terre de nature
Impossible alors de ne pas compter ce pays, couvert par 38 % d’aires protégées et certaines des plus exceptionnelles réserves d’Afrique, parmi les destinations incontournables du catalogue Saïga. Notre voyage a été conçu pour vous proposer une véritable immersion parmi les animaux d’Afrique. Car en Tanzanie, il n’est pas seulement possible d’observer un animal au loin. Souvent, et ce sera le cas en bien des endroits sur notre séjour, les animaux sont autour, et de surcroît dans toutes les directions. Une immersion qui se termine sur l’une des îles les plus paradisiaques qui soit, Zanzibar.
Mais reprenons les choses depuis le début. Au cours de ce voyage, vous cheminerez au cœur de grandes étendues sauvages où les herbivores se comptent par milliers. Vous ne pourrez manquer les immenses troupeaux de gnous et de zèbres. Pas moins que les groupes d’éléphants, d’hippopotames et de buffles, puis aussi les bubales, impalas, koudous ou encore céphalophes. Dans l’imposant cratère du Ngorongoro, nous chercherons les rhinocéros noirs.
© Renaud Fulconis
La préservation des éléphants
La population d’éléphants, qui comptait plus de 316 000 individus en 1976, n’était plus que de 136 000 en 2006. Un chiffre affolant qui, d’après les enquêtes de l’Agence Internationale pour l’Environnement (EIA), allait tomber à moins de 45 000 en 2014. En cause, le braconnage pour l’ivoire qui prenait alors des proportions considérables, depuis ralenties par une application renforcée des mesures de protection et de contrôle. Le gouvernement a notamment mis sur pied des équipes d’investigation du trafic, renforcées par des chiens capables d’identifier la présence d’ivoire avec leur flair. Un point de vigilance cependant avec la levée il y a un an, de l’interdiction d’exportation d’animaux sauvages.
Au braconnage qui menace l’avenir de nombreuses espèces, s’ajoute la difficulté de faire concilier par endroits la liberté de mouvement des populations animales et le développement humain. Une situation qui ne manque cependant pas de contre-exemples avec des endroits où l’implication des communautés locales dans les efforts de gestion des aires protégées se fait avec succès.
Éléphants (Loxodonta africana) © Renaud Fulconis
Une faune riche
Dans chacune des aires protégées que nous visitons, nous nous mettons en quête de la présence des carnivores représentés dans le pays par 35 espèces distinctes. Les lions, parfois par groupes de plus d’une douzaine d’individus, et les guépards sont relativement faciles à dénicher dans leurs aires de répartition. Il en est de même pour les hyènes tachetées que l’on voit facilement roder autour des carcasses survolées par les vautours. Il serait aussi surprenant que nous ne croisions pas une des nombreuses espèces de mangoustes, ou encore un chacal ou un caracal. Il nous faut davantage de patience, pour observer le léopard, et plus encore pour trouver un lycaon ou un octocyon.
© Renaud Fulconis
Aucun risque de ne voir aucun primate, tant les singes vervet occupent largement la savane et se montrent curieux à l’approche des visiteurs que nous sommes. Nous cherchons cependant aussi la présence d’un colobe, ou d’un galago. Quand nous le voulons, nous avons le loisir de prendre le temps d’observer, de photographier, de profiter. Personne ne reste insensible aux couleurs de la savane, en particulier en cas d’orage ou à la tombée du jour.
Tout au long de notre parcours, les oiseaux nous accompagnent. Difficile de ne pas profiter d’eux quand on sait que 1 201 espèces ont été répertoriées dans le pays. Autruches, calaos à joues argent, perroquets, gobe-mouches, inséparables de Fisher, barbicans à tête rouge, aigles ravisseurs, flamants roses... Si votre passion est chez les oiseaux, il est fort probable que vous passiez le séjour entier les yeux levés au ciel.
Barbican à tête rouge © Renaud Fulconis
Tarangire, Manyara, Eyasi, Karatu, Serengeti ou encore Ngorongoro, les aires protégées que nous visitons sont toutes différentes. Elles se complètent remarquablement et donnent un large aperçu des habitats divers de la faune de Tanzanie.
Nous avons choisi de terminer ce voyage à Zanzibar, une perle de l’océan Indien. Cette île à taille humaine recèle de trésors naturels et historiques. Des ruelles étroites et des marchés colorés de sa capitale, Stone Town, à la magnifique petite forêt de Jozani où vivent les colobes rouges, comment ne pas succomber au charme de cette île ?
Le programme Aventure animalière dans les parcs de Tanzanie est à découvrir ici !
Et n’hésitez pas à nous contacter si vous avez la moindre question.
© Renaud Fulconis
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