Parmi les experts avec lesquels nous développons pour Saïga de nouveaux voyages, il y a Benjamin Carbuccia. Benjamin est un arachnologue (le spécialiste des arachnides – parmi lesquels les araignées au cœur du travail de Benjamin) et vulgarisateur scientifique, diplômé d’un master en biologie de l’évolution obtenu au Muséum national d’Histoire naturelle. Naturaliste passionné, il est attiré dès son plus jeune âge par l’observation des animaux. Ce sont surtout les mal-aimés, ceux qu’on ne lui montre pas spontanément et dont ses proches ne lui parlent qu’avec peur ou dédain, qui le fascinent.
Saviez-vous qu'il n’existe qu’une seule espèce de tigre (Panthera tigris), divisée en six sous-espèces ? Que, de nos jours, son territoire ne s’étend plus qu'à onze pays d’Asie ? Car oui, le tigre ne vit bien que sur le continent asiatique. Avant de revenir au Népal et de vous expliquer pourquoi ce pays est une destination privilégiée pour observer cet animal si populaire, voici quelques grandes lignes le concernant.
Le 11 septembre, s’est clos à Marseille le Congrès mondial de la nature. Organisé tous les quatre ans (le dernier avait eu lieu à Hawaii), le congrès de l’Union International de la Conservation de la Nature (IUCN) a rassemblé plus de 5 000 personnes, et davantage encore par visio-conférence. Parmi eux des scientifiques, des experts de la conservation des espèces, des membres d’organisations non gouvernementales, des représentants des États, de la société civile, des peuples autochtones et des entreprises.
Si Jacques Baillon approche des 80 ans, il en a déjà passé plus de la moitié à s’intéresser à plusieurs grands prédateurs, ours, lynx et plus particulièrement le loup.
Quand on interroge le grand public sur l’animal qu’il préfère, le tigre arrive toujours dans le trio de tête, quand il ne caracole pas en tête tout simplement. Et cela n’est pas seulement valable en France. Découvrons à présent quelques informations notables sur le gros chat préféré de la majorité des habitants du monde.